Lors d’un voyage présidentiel, Éric Roman, prix Nobel de médecine pour ses recherches sur les infections tropicales, surnommé par les africains « médecin des rivières », retourne en Centrafrique – quittée cinquante ans auparavant – où, entre douze et quinze ans, il avait vécu au sein d’un hôpital de brousse et d’une léproserie dirigés par son père, médecin militaire. Il est accompagné…
La cécité des rivières
CONSTANT Paule