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Trois parties dans ce roman. Il sâagit tout dâabord dâune rĂ©ception mondaine dont les principaux protagonistes portent le nom de camps de concentration comme sâils avaient Ă©tĂ© anoblis par les crimes quâils y ont perpĂ©trĂ©s, Ă©voquĂ©s avec une cruditĂ© insupportable de trĂšs mauvais goĂ»t, malgrĂ© la rĂ©flexion finale. Dans la deuxiĂšme partie, une femme se reproche de nâavoir pas secouru sa mĂšre en fin de vie. Elle se glisse dans le cercueil voisin de celui de sa mĂšre, converse avec elle. Situation macabre mais non dĂ©nuĂ©e dâhumour noir. « Ăpiphanie » met en scĂšne une « jardiniĂšre » qui dĂ©terre un « navet », jeu de mot dĂ©signant une oeuvre de jeunesse, relatant la disparition dâune amie, quâelle trouve dĂ©testable, mais quâun abbĂ© amoureux tente de rĂ©habiliter. Leurs Ă©changes Ă©maillĂ©s de maintes rĂ©fĂ©rences culturelles sont exagĂ©rĂ©ment longs et ennuyeux.
Le remords serait le thÚme de ces épisodes divers, peu convaincants à la vérité.