La fille des eaux vives

MALROUX Antonin

Une fois de plus, comme avec Un fils pour mes terres (NB août-septembre 2004) ou Les trois marches (NB décembre 2005), pour ne mentionner que les plus récents, l’auteur s’attache, à sa façon, à célébrer l’Auvergne. Une fois de plus, il n’arrive guère à séduire le lecteur, si peu exigeant soit-il, tant l’intrigue est fumeuse, le style sans relief, les personnages sans consistance. Seule la description d’une vieille maison de Besse sous les clématites capte un peu l’intérêt. Est-ce suffisant ?