Une fois de plus, comme avec Un fils pour mes terres (NB aoĂ»t-septembre 2004) ou Les trois marches (NB dĂ©cembre 2005), pour ne mentionner que les plus rĂ©cents, lâauteur sâattache, Ă sa façon, Ă cĂ©lĂ©brer lâAuvergne. Une fois de plus, il nâarrive guĂšre Ă sĂ©duire le lecteur, si peu exigeant soit-il, tant lâintrigue est fumeuse, le style sans relief, les personnages sans consistance. Seule la description dâune vieille maison de Besse sous les clĂ©matites capte un peu lâintĂ©rĂȘt. Est-ce suffisant ?
La fille des eaux vives
MALROUX Antonin