Ferdinand raconte un amour perdu qui a marquĂ© sa jeunesse : Jeanne, une superbe rousse Ă la peau blanche, secrĂšte, fuyante. Au lycĂ©e Voltaire, on la surnomme « La liseuse » en rĂ©fĂ©rence au tableau de Jean-Jacques Henner. Ils vont sâaimer, unis par leur passion du cinĂ©ma. Ferdinand lui prĂ©sente La Liseuse, son double du tableau. Mais Jeanne demeure une femme inaccessible…
La Liseuse
VERHAEGHE Jean-Daniel