La porte d’entrée a disparu. Le Pahr en est tout désarçonné, mais il espère que personne ne s’en apercevra. Ce qui est le cas, l’Ongre n’ayant d’autre but que de chercher noise aux deux Filles ou frapper les murs mauvais. Quant à la Mahrgrand, toute gonflée de haine et de colère, il lui faut tenir le foyer et droiter l’échine…
La maison biscornue
GUILYN Gwen