Elle a trouvé refuge après une rupture amoureuse au bord d’un étang à bout de souffle asphyxié par la centrale électrique voisine. Dans cette fin de monde, la vie se consume ou résiste, dans les roselières : une faune à fleur d’eau à laquelle la narratrice choisit de s’identifier en « absorbant la lagune », devenant par une sorte de mimétisme fasciné, le…
La palourde
VINSON Sigolène