Le narrateur a été visiteur médical pendant quatorze ans ; après un deuxième licenciement, il a acheté un commerce de bonsaïs. Il a deux femmes dans sa vie « pour le retenir » au bord du néant. Pauline Huang, une Chinoise masseuse et calligraphe, et Paula, une chirurgienne qui doit opérer son père atteint d’un cancer. « La peau » est le fil conducteur de ce roman. Le père, fourreur, habillait le corps des femmes avec de la peau. Pauline explore la peau avec des mains de soie. En dépit de relations sexuelles, anciennes et nouvelles, qu’il dissèque avec plaisir, le narrateur, lui, ne semble pas bien dans sa peau.
Jeux de mots d’assez mauvais goût, idées incongrues, roman morose qui ne fait que ressasser le mal-être du narrateur.