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Dans le premier tome (Le Jeu des corps célestes, LJA novembre 2004) le Roi Elias, vaincu par le sorcier Melchior, avait perdu son visage. Il poursuit pourtant ses conquêtes : assiégeant la cité du roi Mérasme, il libère le géant Aranéo. Bien plus tard, voilà Elias dans les prisons de Saval 1er, manipulé par Melchior. La peste rousse décime la cité. Elias va-t-il être sacrifié dans le taureau de bronze ? Aranéo veille. Il a récupéré les cartes magiques et retrouve la douce Evangéline, médecin officiel qui connaît le secret des vaccins. Un gigantesque combat de sorcellerie se déroule. Le volume suivant révélera-t-il la fin ?
Un dessin expressif sert une histoire bien troussée ménageant, sur un fond classique, une belle mine d’inventions graphiques avec de jolis décors mythiques. L’abondance des allusions au volume précédent nuit un peu à la lecture isolée de celui-ci. Pourtant, on ne s’ennuie pas et on a envie de savoir la suite.