La Route des magiciens (Les Dolce ; 1)

New York, juin 2011. La mystérieuse Fondation 18 veut s’approprier les sous-sols des grandes villes pour établir un empire et réduire la population en esclavage. Secrètement pilotée par les sorciers de la Guilde Noire, elle se heurte à une famille de cinq magiciens, les Dolce, seule capable de neutraliser leur plan démoniaque et qui cache ses extraordinaires pouvoirs dans l’anonymat. Un grand-père gâteux et génial, deux adolescents qui envient leurs copains « normaux », une minuscule souris, mémoire de la famille depuis mille ans… tous vont être brusquement lancés dans une aventure tragique…

Ce roman réunit d’ingrédients qui plaisent aux adolescents : de très gentils magiciens poursuivis par de très méchants sorciers. Les parents lisent dans les pensées, commandent aux éléments et même aux cellules de leurs corps, mais avec leur morale très stricte, ils ont les problèmes de tous les couples dont les enfants désobéissent et veulent s’émanciper. L’auteur a une imagination débridée et la surabondance des détails donne un résultat : parfois touffu. Amusant cependant et plein de rebondissements, ce livre peut plaire à tous les âges. Deux autres volumes sont prévus.