La seconde vie de Jane Austen

DOLLINGER Mary

Imaginons que Jane Austen, avec son langage châtié et sa raideur anglaise, vienne s’installer en 2010 dans un petit village de la Drôme. Elle envoie son manuscrit d’Elinor et Marianne aux éditeurs français. Très sûre de la valeur de sa production, elle n’accepte aucune modification, excepté le titre. C’est un succès immédiat. Elle a droit à une recension du Figaro…

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