Agent des Opérations consulaires dépendant de la CIA, Todd Belknap apprend coup sur coup qu’il est viré de son service et que son bureau refuse de secourir son meilleur ami Jared Rinehart, enlevé lors d’une mission d’infiltration. Todd décide de s’en charger. Pendant ce temps, à Manhattan, Andrea Bancroft, brillante analyste financière, apprend qu’elle vient d’hériter de douze millions de dollars et d’un poste au sein d’une association caritative : la Fondation Bancroft. Intriguée et flattée de faire partie d’un clan qui l’ignorait jusque là, elle accepte une mission qui lui fait croiser le chemin de Todd.
Quels sont les liens entre la Fondation, une organisation opaque qui manipule l’ordre mondial à ses propres fins, et une mystérieuse et terrifiante entité connue sous le nom de Génésis ? L’auteur s’en sort bien grâce à une fin inattendue. Le rythme, parfois ralenti par certaines descriptions, est compensé par une intrigue qui met en émoi notre sensibilité et éveille notre curiosité. Le savoir-faire de Robert Ludlum fonctionne encore bien, la reprise de ses manuscrits après son décès aussi.