La terra divalis (Carmin ; 2)

Carmin a été adopté par l’affreuse Gléphirina Powell qui veut se servir de lui. Depuis qu’il sait qu’il est mi-homme mi-divali, il n’a qu’une idée, retrouver sa famille. Aidé par deux fées, il fuit avec Hermantine, la servante muette des Powell. Elles les emmènent chez les divalis. Mais Carmin fait partie du clan des stévaros, mal vu depuis qu’une guerre a eu lieu chez les créatures magiques. Comment dans ces conditions trouver son chemin et sa famille ?

La magie devient prépondérante dans ce tome où Carmin découvre ses pouvoirs. C’est le récit d’initiation d’un adolescent en quête de son identité dans un monde magique ignoré des humains. On navigue sans cesse, à l’instar du héros, entre le monde des humains et des fées. Chaque univers a ses failles, ses dangers mais aussi ses beautés. On est sous le charme de cette atmosphère fantastique, malgré quelques longueurs qui altèrent le souffle qui irriguait le premier tome. Carmin n’a toujours pas trouvé sa famille, le suspense continue. À suivre. (A.D.)