La vie la plus douce

GAIGNAULT Fabrice

Années 70. Pour ses parents, grands bourgeois parisiens, « la vie est une fête permanente », celle d’Adrien se déroule, malheureuse et carcérale dans une pension de province à la discipline de fer. Il tient le coup grâce à la douceur des vacances tropéziennes où plusieurs générations se retrouvent. La mort tragique d’un petit frère atteint de plein fouet les hédonistes et…

Ce contenu est réservé aux abonnés

Je me connecte

S'inscrire | Mot de passe perdu ?

Pas encore de compte ?

Je m'abonne