Jérôme renonce brutalement à l’exercice de son art : la photographie ; vampirisme, se dit-il ! Un ami vole à son secours, organise, pour lui, une rencontre féminine : échec grotesque ; il offre ensuite à l’artiste-citadin en mal-de-vivre, une retraite dans une cabane au fond des bois… Si on s’arrête là, on est très vite agacé par ce personnage-cliché, inadapté à la vie sociale…
La vie sociale
ORSINI Jérôme