Dans L’Encodeur (NB, mai 2009), des cavaliers habillés en templiers avaient fait irruption dans le Metropolitan de New-York pour y dérober l’encodeur qui permettrait de décrypter l’antique manuscrit de l’Ordre. Tess, l’archéologue, et Reilly, l’agent du FBI, parviennent à localiser l’organisateur de l’opération, tandis que ce dernier se débarrasse de ses complices et que les émissaires du Vatican font tout pour que le secret ne soit pas dévoilé.
Le lecteur progresse dans la compréhension d’une intrigue riche en violences et émaillée de quelques retours dans le passé. Très typés, les personnages tournés vers l’action ne s’encombrent guère de nuances, pris par un scénario dont le thème très simple est heureusement enrichi de poursuites, coups de feu et multiples rebondissements, sans oublier les passages secrets et cryptes mystérieuses. L’image, d’un grand classicisme, anime les acteurs en les faisant évoluer dans des décors soignés au teintes tranchées.