Le chien du narrateur, un Ă©tudiant antillais, vient de mourir : câĂ©tait un husky au regard bleutĂ© cerclĂ© de fourrure noire, son seul compagnon. Sa disparition amĂšne le jeune homme solitaire Ă rĂ©flĂ©chir sur la vie Ă la Martinique, celle des mĂ©tis en particulier, et de-ci de-lĂ sur des sujets trĂšs divers en prenant son chien « endormi » pour confident. Il rencontre un vĂ©tĂ©rinaire antillais vers qui « une force inconnue l’avait poussé »…
 Ce salmigondis aurait pu alimenter une série de nouvelles ! Fiction moins sombre que La queue du faisan frÎle les pivoines (N.B. oct. 2003), son style précis, parfois farfelu, peut agacer ou amuser.
E.C.