Le dernier Léonard De Vinci

Longtemps Fiona McLaren a contemplé une douce madone à l’enfant, tableau hérité de son père. Progressivement, elle prend conscience de la fascination que cette oeuvre exerce sur elle et cherche à élucider sa provenance, son sens caché et le nom de l’artiste,. Cette quête exhaustive la conduit à examiner diverses théories liées à la résurrection du Christ et au rôle de Marie-Madeleine. Pendant sept ans elle enquête d’Angleterre en France ; recherchant et vérifiant maints documents, étudiant diverses hypothèses, elle est finalement convaincue par un faisceau de convergence. Dans une étude ésotérique, cette Écossaise fait partager son voyage mystique sur « une mer d’ignorance ». Ne laissant rien au hasard, elle entremêle les origines druidiques et culdéennes, royales, templières, maçonniques et cathares d’Écosse et/ou de France, pour les opposer au dogme officiel de la chrétienté romaine. Au cours de cette « recherche de la vérité » elle débusque le moindre indice, interprète chaque symbole et parvient à construire une vie de Jésus. Malgré les chapitres distincts, de très nombreuses redites et circonvolutions alourdissent le récit qui n’en devient que plus abscons et n’aboutit pas à prouver l’authenticité de ce prétendu « dernier Leonard de Vinci ».