Le Réseau Gemini.

BURNELL Mark

Personnage récurrent de Mark Burnell (Métamorphose de la vengeance, NB juillet 2001, Caméléon, NB avril 2003) sous des appellations diverses, Petra, Stéphanie…, l’héroïne de ce roman de barbouzes a été récupérée par les services secrets britanniques, “Magenta House”, où son activité consiste à traquer et éliminer des terroristes sévissant dans le monde, Hong-Kong, Berlin, Londres, Moscou, Belgrade… Sa nouvelle mission consiste à identifier les membres d’un réseau au nom de code “Gemini” et à déterminer ses objectifs. Amenée à contacter de multiples espions et agents doubles, d’une cruauté et d’une avidité extrêmes, qui, eux aussi, agissent sous des patronymes changeants, elle trompe son compagnon, un peu par plaisir, surtout par conscience professionnelle pour obtenir la liste des affidés de cet organisme clandestin.  Pour tenter de suivre une intrigue aussi détaillée que compliquée, le lecteur doit sauter du passé à l’action présente des multiples intervenants de nationalités diverses, ce qui embrouille la compréhension des agissements crapuleux exposés, et donc l’intérêt de ce thriller.