Le semeur d’alphabets

ANGLADE Jean

Le narrateur naît en 1927 dans le Puy-de-Dôme. Sa mère meurt à sa naissance. Il est élevé par sa grand-mère, tuyauteuse de coiffes, « une femme redoutable ». Après le certificat d’études, il rejoint son père qui travaille dans une imprimerie de Clermont-Ferrand, devient correcteur au journal « La Montagne ». Romain raconte son mariage, la naissance de ses filles, sa rencontre avec Alexandre Vialatte. Retraité, il répond à l’annonce suivante : « Recherchons technicien de l’imprimerie pour diverses missions bénévoles à l’étranger »… Et de décrire minutieusement cette généreuse expérience en Afrique, puis en Roumanie. Cette seconde partie du roman aurait pu être intéressante si Jean Anglade ne s’était attardé sur des détails sans grand intérêt.

 

Dans la ligne de ses précédents ouvrages (cf. L’écureuil des vignes, N.B. nov. 2004), cet auteur prolifique, se voulant pédagogue, tient à transmettre ses connaissances et ses convictions sous forme d’anecdotes, d’exposés magistraux, ou de remarques sur des sujets divers.