1813. L’empire napoléonien est à bout de souffle et le crime organisé prospère dans Paris. Vidocq, l’ex-bagnard, vient d’être nommé patron de la Sûreté, une brigade efficace mais composée de criminels repentis. Si ses méthodes peu orthodoxes sont appréciées en haut lieu, elles ne sont pas du goût de tout le monde. « La bande à Vidocq » est appelée pour élucider un suicide qui vient d’avoir lieu à Notre-Dame au pied du maître autel alors que l’office allait commencer. Cela la conduit sur les traces de la Grande Armée au passage de la Bérézina…
Le suicidé de Notre-Dame est le premier tome des aventures de Vidocq, revisitées par Nolane. L’album, classique, livre une mise en page sage, même si le dessin fouillé de Barnovic gagnerait à être moins ombré. Ce premier tome est complété par deux pages retraçant la saga de Vidocq. Cela laisse présager de nombreux autres épisodes. (D.L. et C.D.)