Le premier tome (Cf. La Boîte de Pandore. (Olympus ; 1. ), N.B. avr. 2005) avait laissé le petit groupe d’étudiants et ce qui restait des pirates en butte à diverses attaques d’origine mythologique. La suite est du même acabit. Le traître s’avère encore plus fourbe, les combats se multiplient : minotaure, cyclopes, griffons, méduses. Nos amis traversent le labyrinthe, aidés par le fil d’Ariane abandonné par Thésée, rencontrent un Sphinx dont l’énigme est rapidement résolue… et échappent à une armée de monstres grâce à Pégase et ses congénères. Les dents d’un cadavre d’Hydre semées dans la terre deviennent des squelettes combattants alliés aux héros. La jarre de Pandore est finalement refermée, faisant cesser le chaos ambiant. Les survivants, comme sortis d’un cauchemar, se retrouvent sur une île proche d’un port moderne. La mer est bleue, la plage dorée, et l’avenir de tous radieux…
Fin de la série servie par un graphisme de qualité, précis et réaliste. Il se confirme que la mythologie grecque y est utilisée comme un mélange de n’importe quoi à base de fantastique démoniaque et que le résultat est supportable.