Un livre cartonné si grand, qu’il peut se tenir debout pour offrir aux enfants en panne d’imagination sept propositions de rêves, à développer. Sept doubles pages abondamment illustrées, aux textes très courts.
Les admirateurs de Soledad Bravi risquent d’être un peu déçus. Elle se montre en panne d’humour ou peu à l’aise dans le grand format malgré des univers hauts en couleur : la dernière double page évoque les peintures du Douanier Rousseau. Les enfants s’amuseront à suivre les petits personnages, à retrouver les héros de leurs contes ou tout simplement à compter les moutons afin de s’endormir.
N.G.