On connaît l’histoire du vilain petit canard qui, ne ressemblant à aucun des canetons de sa couvée, est rejeté par tous les volatiles de la basse-cour. Il ne sera pas accepté non plus par les canards sauvages et décide de partir courir le monde… Le miracle se produit au printemps quand il rencontre trois cygnes majestueux et que l’eau lui renvoie sa propre image : il fait partie de leur race…
Si, dans cette traduction, la langue d’Andersen a été modernisée pour la rendre la plus proche des enfants d’aujourd’hui, l’essentiel demeure. Beaucoup de finesse dans l’illustration : fraîcheur du cadre champêtre, nuances très expressives des sentiments des protagonistes, humanité, humour… Pour une écoute ou une lecture joyeuse.