Le premier tome (NB, janvier 2008) avait conté la naissance de l’amitié entre Marcus et Arminius. Les voici de retour à Rome au sommet de leur gloire. Tandis qu’Arminius se rend à l’orgie organisée par Morphea, Marcus oublie son mariage arrangé avec Silvia et file le parfait amour avec Priscilla qu’il projette d’enlever. Mais Morphea, qui s’avère être la mère de la jeune fille, combine une mise en scène luxurieuse pour la détourner de sa passion. Pourtant la situation va bientôt se renverser et l’occasion sera donnée à Marcus d’aller en Germania où son aimée, mariée entre temps, est partie suivre son époux.
Un scénario bien ficelé enchaîne les rebondissements qui sont autant d’occasions de remplir des pages entières de sang et de sexe, sur un fond de décors romains classiques. Les héros sont carrés et inoxydables. Les méchants ont des têtes de méchants. Les haines sont féroces, les ambitions sans limite et les amitiés indéfectibles. On attend sans impatience le tome suivant.