Ils vivent dans un grand arbre creux, presque couché, au cœur de la ville. L’un d’eux revient de la boulangerie, une baguette sous le bras, un sachet de croissants à la main, son chapeau sur la tête. Normal ! On s’active dans tous les logements car aujourd’hui, c’est la fête et il faut tout organiser. On s’active même sur la grue…
Les canards sauvages
JOLIVARD Adèle