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Hélène, née de l’accouplement de Zeus, sous la forme d’un cygne, et de Léda, a choisi parmi ses prétendants Ménélas devenu roi de Sparte. Séduite par Pâris, elle s’enfuit avec lui à Troie. Ainsi se terminait La prisonnière de Sparte (Hélène de Troie ; T.I) (N.B. oct. 2007). Avec Les flammes de l’éternité, la guerre de Troie, symbole de toutes les guerres, se profile. Ménélas veut récupérer sa femme, les trésors de la cité sont des motifs suffisants pour une invasion grecque. Des années vont s’écouler, de sanglantes prophéties et des massacres se réaliser avant la chute de Troie.
À travers le journal d’Hélène se déroule l’histoire d’une reine amoureuse, bouleversée par ce que sa fuite a déclenché. Cela se passait au temps de la civilisation mycénienne, l’auteur a gardé les liens entre dieux et mortels. Cette fresque romanesque aux détails minutieux, à l’écriture un peu désuète n’incite guère à renouer avec l’Antiquité et la mythologie grecque.