Michel Peyramaure situe ce presque centième ouvrage à l’origine de la civilisation, dans la Mésopotamie antique, « pays entre les fleuves », le Tigre et l’Euphrate. Babylone est alors à son apogée, capitale d’un Empire, sous le règne d’Hammourabi, son plus illustre souverain. Les fêtes du Nouvel An se préparent. Mais dans l’enceinte sacrée de Mardouk, dieu suprême, s’accomplit un geste sacrilège sur la statue de la divinité : le vol du pectoral, insigne de sa puissance. Vient ensuite le meurtre de deux gardiens du temple. Commence alors une enquête, discrète pour ne pas troubler l’ordonnancement des célébrations. Deux scribes et leur maître s’efforcent de dénouer les fils du complot contre la puissance royale et de confondre les coupables.
L’action, malheureusement, se délaie et, malgré le “clinquant” d’une belle documentation, l’ennui l’emporte, dommage !