Les jarres chinoises

GORDON William C.

Modeste journaliste au service publicité d’un grand quotidien, Samuel apprend le décès accidentel de Reginald Rockwood III, son compagnon de comptoir, dans un pauvre bar de San Francisco. Très vite, il soupçonne que cet accident n’en est pas un. Samuel décide de mener son enquête et renoue avec un ancien condisciple, assistant d’un procureur général, très occupé par une affaire de commerce illicite d’oeuvres d’art avec la Chine. Tous les deux vont sillonner les ruelles et les boutiques de Chinatown.

 

Ce premier roman d’un avocat ayant trente ans d’expérience professionnelle entraîne lentement le lecteur dans les dédales du trafic des oeuvres d’art. Son intérêt réside plus dans la description de l’atmosphère du quartier chinois et des pratiques des trafiquants que dans le suspense qui se révèle peu convaincant.