Flora et Max se retrouvent pour de nouvelles aventures. Malgré une grande implication dans leur projet de création d’école indépendante, celle-ci est un échec. Qu’à cela ne tienne, les jeunes gens sont restés liés avec les pensionnaires de la maison de retraite qui les accueillait. Ils se rapprochent et approfondissent leur amitié. C’est pourquoi, le jour où la mairie annonce la destruction de la maison de retraite et de son parc pour créer un hyper-centre, ils décident de tout faire pour la sauver.
Incisive et mordante, cette suite de La folle rencontre de Flora et Max (NB janvier 2016) est une réussite totale. Les personnages sont réalistes et époustouflants de justesse. On rit, on pleure avec eux et on s’inquiète pour eux. Le roman est humaniste et plein de douceur. Les auteurs y glissent de l’espoir, un espoir nécessaire à la composition d’un bon roman jeunesse. Si ces derniers peuvent nous lire, sachez-le, nous en voulons encore. (J.J.)