Ludivine rĂ©dige une thĂšse sur « lâinfluence du sexe dans lâhistoire ». Pour cela, elle utilise un ordinateur de lâuniversitĂ©. Lâappareil est vieux, un bug aspire la demoiselle et lâexpĂ©die dans la prĂ©histoire. Naturellement, quasiment nue ; ses qualitĂ©s physiques bouleversent le mental des chasseurs de mammouths tandis que leurs Ă©pouses dĂ©couvrent le fĂ©minisme en mĂȘme temps que leur anatomie. Un nouveau bug la prĂ©cipite, toujours aussi dĂ©nudĂ©e, auprĂšs de CĂ©sar. Lâaccorte fille ne tarde pas Ă Ă©veiller la jalousie des vieux barbons autour de lâempereur qui lâassassinent pour sâemparer de ses charmes. Elle Ă©chauffe les sens de personnages successifs : Charles VII qui la prĂ©fĂšre Ă Jeanne dâArc, Henri IV dont elle rĂ©veille lâappĂ©tit dĂ©faillant, MoliĂšre, les Sans-culottes, Grouchy, Foch quâelle visite en taxi de la Marne⊠   On le voit, malgrĂ© des illustrations lĂ©chĂ©es, le niveau se situe nettement en dessous de la ceinture , lorsquâil y en a une. Les gags sont appuyĂ©s et graveleux, les seul potables Ă©tant en gĂ©nĂ©ral empruntĂ©s Ă dâautres sĂ©ries : soit des BD comme par exemple AstĂ©rix,  soit Ă la TV comme Sex in the city ou autres divertissements historiques actuellement sur des chaines TNT. Un hymne Ă la concupiscence. (Y.H. et A.R.)
L’histoire sans dessous… dessous ! (Ludivine)
RODRIGUE Michel, ERROC, DANY