L’Homme du bunker.

HIGGINS Jack

Cette fois-ci, les héros récurrents de Jack Higgins (on les retrouve presque tous les ans dans les N.B.), le général Ferguson et son homme de main Sean Dillon, ont affaire au baron von Berger, un ancien officier SS. Cet aristocrate à l’ancienne aurait caché dans son château d’Allemagne le journal des derniers mois d’Hitler que celui-ci lui a confié avant de se suicider, de même qu’un trésor de guerre. Si les Occidentaux pensent à juste titre que l’argent a servi à acheter à titre personnel des puits de pétrole (donc irrécupérable), le journal est un brûlot politique qu’il y a lieu de recouvrer impérativement. Comme d’habitude, les règlements de compte sont nombreux, la vengeance expéditive. Les cadavres jonchent les pages et le lecteur a quelque mal à s’y retrouver dans les trafics d’armes avec les Arabes, les Irlandais et de simples cerveaux brûlés. Il semblerait que le filon soit inépuisable, alors…