À la suite de leur naufrage dans un monde inconnu, Callista, Granite et Narvarth le gentil technicien à l’âme de poète ont vite réalisé qu’ils étaient les pions d’une vaste partie dont ils ignorent les enjeux. Ce dernier tome clôt la série et révèle les secrets d’Ithaq. La planète retient prisonnière une créature puissante privée des quatre forces qui composent la vie. Afin de recouvrer sa liberté, elle soumet à sa volonté certains peuples extraterrestres ayant un pouvoir sur le feu, l’eau ou l’air. Elle charge ainsi Narvarth de la libérer.
Cette fin est trop invraisemblable pour être crédible. Malgré son dynamisme et ses couleurs vives, le dessin manque de précision et de cohérence (Pourquoi donc la blonde Granite apparaît-elle de plus en plus dénudée au fil des pages…). On regrette le manque de suspense : l’intrigue est dévoilée dès les premières pages grâce à des flashbacks qui ôtent au reste de l’histoire une grande part de son intérêt. Quant à la chute finale, elle est tout à fait ridicule. Un dernier tome décevant.