L’intrus. (Tendre banlieue ; 17.)

TITO

Elsa souffre de l’absence de son pĂšre et a beaucoup de mal Ă  accepter le compagnon de sa mĂšre qu’elle appelle « l’intrus ».Il suffit d’une remarque maladroite d’un de ses camarades pour qu’elle s’enferme dans la rĂ©volte et glisse dans l’anorexie. Il devient alors difficile, pour sa meilleure amie et pour sa mĂšre, de percevoir l’ampleur de son mal ĂȘtre et de l’aider Ă  le dĂ©passer.

Depuis des annĂ©es, Tito dĂ©crit les joies et les difficultĂ©s des adolescents en prenant pour cadre la banlieue oĂč il vit, ce qui donne une certaine chair au rĂ©cit. La situation est dĂ©crite avec justesse, la note d’espoir finale rĂ©confortante. Â