Lire dangereusement

NAFISI Azar

Convaincue du « pouvoir subversif de la littérature », Azar Nafisi engage une correspondance fictive avec son père décédé en 2004, prolongeant ainsi les conversations ou échanges épistolaires qu’elle a toujours entretenus avec lui. En cinq lettres très étoffées, l’autrice confie à son « cher Baba » ses réflexions personnelles et politiques sur l’histoire récente de l’Iran, son pays natal, et celle des États-Unis, son pays d’adoption.…

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