Love love love. (Sourire d’enfer ; 2.)

BASTIEN Ted, GRISSEAUX Véronique

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Au collège, Charlotte a de bons copains et un amoureux, Arnaud. Avec eux, la vie quotidienne est plus gaie, et les petits désagréments peuvent prendre des allures d’aventures. Le sourire carnassier de Charlotte, surnommée « Sourire d’enfer » à cause d’un appareil dentaire, croque la vie à belles dents : Nina la peste n’a qu’à bien se tenir, ses frères trop moqueurs également. Jalousie, tricheries, narcissisme et émotivité se vivent avec bonheur dans quatre histoires toniques et piquantes qui se terminent au mieux pour Charlotte et ses amis. Tirées de dessins animés destinés aux pré-adolescents, ces scènes de vie quotidienne sont proches de la réalité, pétillantes et distrayantes sans volonté de délivrer des messages. Les petits travers sont compensés par l’amitié, les déceptions vite oubliées et les sourires ne sont jamais loin, éclatants ou parfois agaçants. Les vignettes aux couleurs vives et acidulées, de taille irrégulière, donnent de la vie aux personnages expressifs, aux traits anguleux et aux grands yeux.