Alinéa, la petite amie de Luc, a le cafard. À Paris, il fait gris et il pleut ! Elle n’en peut plus et désire partir à Tahiti avec Luc. Pour en avoir un avant-goût, ils vont au musée voir quelques toiles de Gauguin. Alinéa soutient que sa mère est représentée sur un des tableaux en paréo. Luc apprend aussi l’existence d’un peintre faussaire pas si faussaire car il ne copie pas simplement mais fabrique de « nouvelles » toiles de Gauguin en empruntant des éléments à l’univers du peintre, produisant des toiles qu’aurait pu imaginer le créateur lui-même. Lorsque Luc rentre seul de Tahiti, il rencontre Gauguin dans un Paris des années 1890 ! Une nouvelle aventure de Luc Leroi qui n’avait pas donné de ses nouvelles depuis longtemps. Ce récit, joli voyage extra-temporel, désir transformé en rêve sans doute, ne laisse nulle trace dans la vie de Luc. Parviendra-t-il un jour à vendre sa voiture et à s’envoler pour Tahiti avec Alinéa ? Qu’importe ! Teintée d’imagination et de poésie, cette histoire fait rêver. (A.D. et D.L.)
Luc Leroi plutôt plus tard
DENIS Jean-Claude