Lucky Loser (Hazard ; 1)

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Sur sa planète « terraformée », donc habitable, Lucky, malin, glandu indiscipliné de nature, joue toujours de malchance, peut-être en raison d’une ancienne malédiction. 

Formellement désapprouvé par  sa mère, il a décidé de faire un stage de trois ans au service de la planète, qui lui vaudra une rente à vie. Sa route croise celle de Manon, partie avec ses partisans à la recherche de son père, prisonnier politique. Poursuivi par la déveine, Lucky se retrouve sur une lune pénitentiaire où est enchaîné le père de Manon. Au cours d’une grande attaque, les deux héros se retrouvent face à face.

Thèmes intéressants : totalitarisme, argent corrupteur, mensonges du pouvoir. Mais l’univers graphique, proche des mangas, n’en possède pas la lisibilité, et il est difficile d’identifier les individus des trois camps : police, pirates, maquisards. Les blancs dans le déroulement du scénario gênent le lecteur non familiarisé avec les jeux vidéo dont il a la rapidité.