La myopathie est là, maître du jeu. À trente ans, lorsqu’on jouit de toutes ses facultés intellectuelles mais que « la maladie s’organise des repas orgiaques de muscles pour, à terme, laisser sans énergie, aussi athlétique qu’un mollusque », il est difficile d’accepter ce corps défectueux et la vie qui va avec. Heureusement il y a les amis, trois vrais…
Marche ou rêve
LAIGNIER-COLONNA Ferdinand