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Fier d’être le fils (batard) de Miricaï, le grand sorcier qu’il n’a jamais vu, Finn se laisse vivre, sa broderie à la main, et ne sait même pas lire. À quoi bon ! Mais à seize ans, il doit partir pour l’école des sorciers dans la forteresse de Lur. Il partage la vie de deux autres apprentis. Finn s’intéresse à l’herboristerie, enseignée par le vieux Froideneige, mais moins à l’étude en bibliothèque où il apprend à lire. Les sorciers présents sont persuadés que Finn connaît le « langage », mais il n’en est rien. Découvrant grâce à sa mère qu’il pourrait même ne pas être le fils de Miricaï, l’adolescent décide de s’enfuir. Accueilli dans la famille du potier Chéramie, il est enlevé par des mercenaires pour le compte d’autres sorciers.
Des bandes rivales, un apprenti sorcier imbu de sa valeur mais guère ardent au travail, de vieux vénérables obsédés par la quête du « langage », tout cet ensemble, pas vraiment novateur, est à suivre dans un prochain volume pour connaître peut-être la clé du mystère.