La colline entière est en émoi, M. Satoyama a disparu, ses vaches meurent de faim, et Mina commence à vêler. Robin l’écureuil va donc pouvoir, à sa grande joie, lancer une nouvelle enquête ; occasion de comparer la vie confortable mais entravée des vaches à celle libre mais difficile des bêtes des champs.
Le texte coule aussi facilement que dans le tome I. Les animaux, bien personnalisés et représentés, sont attachants avec leurs défauts et qualités très humaines. Une jolie leçon de solidarité, que seul le lecteur connaîtra, puisque tous les animaux disparaîtront – sauf les vaches bien sûr, quand M. Satoyama arrivera. Un gros avantage.