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C’est un tueur à gages qui parle, et qui exécutera ses trois commandes. Pour ce sixième épisode, l’homme traîne comme un boulet son cynisme nonchalant tout en exerçant en professionnel son activité rémunératrice. Il est mis en scène par l’excellent graphisme de la série sur des planches aérées au réalisme efficace, et la lecture de ses aventures s’en trouve agrémentée. On peut regretter, tout au long des épisodes successifs, la monotonie induite par les exécutions sans qu’aucune remise en question ne vienne apporter d’humanité ni de profondeur au propos.