Nom de code : Voltaire (Ch Confidentiel ; 2)

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Après Nom de code : Pandore, premier tome assez controversé,  Daniel Ceppi récidive avec un deuxième volume de CH Confidentiel, assez bien mené dans l’ensemble.

La BER (Brigade des Enquêtes Réservées) débute une nouvelle investigation à l’hôtel Voltaire, au centre de Genève, lieu du meurtre d’une prostituée, Anna Paccio, et de son compagnon, Gilberto Guzulo. Par accumulations d’indices et d’informations concomitantes, l’enquête se densifie et s’étend au monde des affaires et de la banque, jusqu’aux guérillas obscures menées en Guinée.

Sur un scénario bien documenté, l’amoncellement de détails des premières planches casse le rythme et rend la lecture fastidieuse. Par ailleurs, les traits des visages, souvent irréguliers, en opposition avec le réalisme remarquable des décors et plus particulièrement celui de l’architecture, ne compensent pas non plus ce début d’histoire fastidieuse. La persévérance est de rigueur pour venir à bout de ce second tome.