En ces années 1920, ils sont quatre : deux garçons, deux filles, qui cambriolent et tuent dans cette bonne ville de Londres. Fanny, prostituée rousse, leur sert d’appât tandis que les trois autres sont unis pour mener à bien leurs trafics. Mais après la capture de Lucrèce, l’une des leurs, Orwood décide qu’ils doivent se séparer et ne se revoir qu’à la date anniversaire de leur séparation. Fanny s’enfuit à Paris pour mener une nouvelle vie.
Ce deuxième tome d’une tétralogie qui doit paraître sur un an n’accroche pas. Il ressemble à une parenthèse inutile dans un récit sans suspense et ne fait pas avancer l’intrigue. Les personnages eux-mêmes n’ont pas beaucoup d’épaisseur. Dommage car le premier tome était plus vivant.