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Mêmes héros et même démarrage que dans L’huile d’olive ne meurt jamais, (LJA octobre 2001). Pour l’amour de Caroline, Olivier défie la mafia sicilienne et propose ses services à la baronne Cordopatri. L’amour est au coeur de ce roman, l’amour dont il faudrait savoir parler pendant les cours d’éducation sexuelle, ce que la jeune professeur de Caroline ne peut pas faire. L’amour qui est partout, même dans la vie chaotique des adultes. On peut vouloir mourir d’amour, mais c’est encore la génération des grands-parents qui offre les plus beaux exemples. C’est ainsi que les chapitres se succèdent en une galerie de portraits contrastés et sans complaisance. L’histoire des deux adolescents en fait partie, exemplaire…ou presque. Leur amour est sincère, profond, respectueux. Mais Caroline, 16 ans, tombe enceinte. La venue d’un enfant est librement assumée par le jeune couple et préférée à un avortement. L’amour vient à bout des difficultés, certes, mais les problèmes qui vont se poser sont passés sous silence. Pour réfléchir et discuter, à partir de 14 ans.