Plus vivant que la vie

DUBOSC Anna

Sa mère est morte. La narratrice raconte, se souvient, tente de conjurer l’objectivité de cette mort par une évocation minutieuse des jours d’avant, des jours d’après…  en forme de journal. On pense évidemment en entrant dans ce texte aux premières lignes de L’Étranger : « Aujourd’hui maman est morte, ou peut-être hier, je ne sais pas (…) Cela ne veut rien dire »…

Ce contenu est réservé aux abonnés

Je me connecte

S'inscrire | Mot de passe perdu ?

Pas encore de compte ?

Je m'abonne