Prenons la place des morts (Opcop ; 2)

Un excellent chirurgien esthétique est retrouvé pendu ; un député européen communiste est assassiné dans une ancienne île prison ; Vrapi, marchand d’armes de haut vol, est descendu dans un bouge suédois. Du pain sur la planche pour les policiers de l’Europol. Et que vient faire dans tout cela là Deda un enfant de dix ans à moitié dévoré vivant ? Qui est W ? Pourquoi ces citations d’Alexandre Dumas auprès des cadavres. Autant d’énigmes difficiles à résoudre.    Il y avait eu un opcop 1, apprécié, avec la même équipe d’enquêteurs (Message personnel, NB décembre 2014). Cette fois-ci l’intrigue, les multiples intrigues de ce gros roman policier sont difficiles à suivre et extrêmement embrouillées. L’attention s’évade souvent, même s’il y a des passages prenants et que l’on attend le dénouement avec une certaine curiosité, exacerbée par le côté rocambolesque de l’histoire. Dommage. (E.G. et M.-N.P.)