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Georgia Nicolson est en pleine désespérance. Après l’avoir fait languir une longue semaine, Massimo, le beau Transalpin, ne se sent pas prêt à devenir son copain officiel et ses copines ne sont pas vraiment « positives », trop occupées par leur petit ami. Elle passe du rire aux larmes, de l’excitation à la prostration et s’étourdit en préparant un spectacle avec la troupe du Top Gang. Comme dans les précédents épisodes, beaucoup de rythme dans ce bavardage non-stop. On y retrouve la mère attentive, la petite soeur adorée mais collante, et les « vioques ». Les états d’âme d’une adolescente sont bien vus. Mais le language à la San-Antonio utilisant le verlan, des mots détournés, parfois alambiqués, mêlés à d’autres en allemand, est lassant, à la limite du lisible.