Sans laisser d’adresse

COBEN Harlan

La paire insĂ©parable, Myron Bolitar et Windsor Horne Lockwood III dit Win, revient sur la scĂšne internationale pour notre plus grand bonheur. En plein marasme conjugal, Myron reçoit un appel au secours d’une ancienne maĂźtresse dont il n’a pas eu de nouvelles depuis sept ans. Commence alors un vĂ©ritable marathon entre Paris, Londres et New York dont les coureurs sont des hommes des services secrets français, du Mossad, de la CIA, d’Interpol et de cellules terroristes islamiques. La course est haletante avec enlĂšvements, meurtres, tortures, manipulations gĂ©nĂ©tiques, mais Myron dĂ©jouera le complot in extremis avec le brio qu’on lui connaĂźt.

 

AprĂšs Peur noire (NB novembre 2009), Harlan Coben poursuit dans la veine mĂ©dicale, mĂȘlant terrorisme et gĂ©nĂ©tique. Le complot est Ă  la fois hallucinant et criant de vĂ©ritĂ©. Du grand Coben avec ce qu’il faut de doute, d’horreur, de frĂ©missement de l’échine et des valeurs phares comme la fidĂ©litĂ© en amitiĂ©, le goĂ»t du travail bien fait et le courage ! Si la plume est tonique et le style lĂ©ger, le sujet lui ne l’est pas