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À New York, l’Ellis Group lutte contre les « Abominations », des malfrats capables de générer et manipuler par rêve les pires individus.
Ce deuxième tome titre sur Sax, l’agent plein d’expérience de l’Ellis Group qui lutte contre une maffia new-yorkaise aux pouvoirs supra-naturels. Deep, l’autre membre du tandem d’agents très spéciaux, sait désormais qu’il n’est qu’un rêve issu du cerveau de son père plongé dans le coma…
Hormis l’ouverture qui joue avec un film célèbre de Woody Allen dont les héros sortaient de l’écran, ce tome est aussi difficile à suivre que le premier, multipliant les incises, introduisant de nouveaux personnages (certains mi-hommes mi-bêtes), s’attardant longuement sur un condamné à mort, s’interrompant en pleine action à la dernière planche, faisant craindre que la suivante ne se soit perdue ! Rien à reprocher au dessinateur qui mène son trait avec brio, mais le scénariste – qui a prêté son visage au futur électrocuté – est-il bon conducteur d’histoires ?