Sept jours à l’envers est le vécu d’un collégien qui remonte le temps sur une semaine pour revenir à la source du drame qui s’abat sur la famille : la disparition accidentelle de son oncle maternel.
L’adolescent, narrateur, confronté pour la première fois au deuil d’un proche, livre ses pensées, son regard sur le chagrin de ses parents, les souvenirs des bons moments passés avec son oncle, des anecdotes avec ses copains de collège. Le roman souligne la difficulté de communiquer dans une famille où on ne se parle pas.
Il s’articule autour de huit chapitres, ou journées en flash-back, qui se terminent par une proposition de réponse farfelue à une devinette posée par l’oncle dans son dernier coup de fil. Ce sujet grave et douloureux est abordé avec tendresse, sensibilité et humour. Les dialogues intérieurs avec le disparu dynamisent la lecture de cette histoire au ton juste.